• J'étais coincé dans ce monde, étalé sur le sol où seule une lumière faible et pale m'environnait. Le reste sombrait dans le noir aussi lointain soit-il, impossible de voir l'horizon qui disparaissait dans l'ombre tel un néant autour de moi...

    j'étais devenu l'épave, la carcasse de ce démon, déployant ses ailes déchirées par les temps qu'il a passé, Il gravitait là au dessus du sol face a moi...Le dieux des ténèbres, maître de la psychose, celui qui concentre toute mes souffrances en une espèce de sphère qu'il soulève au dessus de son index....une fois le globe achevé Il l'étire pour finir par m'écraser...m'écraser de moi de tous ce que j'ai...ce démon n'était qu' un reflets de ma personne ravagé par le mal.


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  • Y'en a marre de ces soirées qui commence en folie sous l'effet d'un verre et ou tu termine a te retrouver seul d'en ton trip ou tu indigestes tous ce que t'as bu ,vu et entendu de la nuit...tout ces souvenirs partiels, coupés de trou noir que tu ne peux expliquer...la vision s'est perdu dans les rues, là où tu t'étais effondré à gerbé. Des personnes te croisent en te demandant.

    «ça va?!»
    ...
    (Mais bien sure que ça va quelle question!)

    Non tu sais même pas y répondre tu gémis en face d'elles comme un mort et tu restes la dans la rue où l'air hivernal te brûlera a petits feux...

    C'est là que tu ouvres les yeux,
    tu te réveils sans savoir ou t'es.Et tu te dis..
    J'sais pas comment j'suis arrivé là.
    Mais putain j'suis tombé bas.

    Au faite j'étais tombé juste sur la réalité...Celle ou tous ces gens se détruisaient passant des nuits autodestructrices...j'allais sortir pour voir ce qui se passe a l'extérieux...j'voyais des personnes qui prennaient leur bus, d'autre qui se réveillaient dans leurs voitures pour se rendre au certainement a leur boulot, pendant ce temps j'essayes de comprendre cet acharnement à vivre comme ça dans ce manège qui n'en fini pas mais j'avais toujours un peu trops la tête dans le cul pour pouvoir me concentrer la dessus..Alors ça en devenait une banalité...

    Enfin arrivé, je suis dans mon lit.

    BoOnNe NuIt

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  • J'étais jetée contre le sol.Ma chute n'était que prévention de la douleur s'en succédant.Nue j'essayais de me réchauffer; en me contractant près d'un des murs, que je subtilisais grâce à la lumière de la lune qui s'introduisait dans cette pièce glacée
    ...
    «J'étais arrivée a m'accrocher à sa main qui ne voulait plus me tenir. En me libérant il m'a laissé tomber sur moi.La mort avait tranché les perseptions affectives que l'on avait.Je pense l'avoir ainsi perdu»

    Je n'en pouvais plus de cette situation.
    Je ne pouvais croire en sa réincarnation.
    Pourtant temps d'âmes voudrai de moi, me relever..
    Mais je ne pouvais les voir je n'arrivais plus à aimer.



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  • Tu sautes sans raison,
    te mêlant à la distortion.
    Comme injecté dans les veines,
    te répendant avec peines.
    Tu t'acharnes a faire du sur place,
    Jusqu'a croire que tu te déplaces.
    Main au sol pieds en l'air,
    tu ne saura plus te poser a terre.
    Tu rejettes l'apesanteur,
    en arriver à ignorer tes peurs.
    Tu fonces en fuyant cette réalité,
    on est tous condamné a crever.

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  • Je courrais a pleine allure,
    ne supportant plus ces enflures.
    Je me rendais a la gare,
    esquivant le retard.
    Arrivé au bord du quai,
    je vis cette femme qui attendait.
    Alors la cloche du départ retentit,
    je m'introduis dans le train incompris.
    Etourdis par les balancements des convois,
    l'illusion de la femme me remit a l'endroit.

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